L'auteur

Mon nom est Jean (Christian) STEVENS

Je suis d'origine belge, né à Bruxelles en 1948.

Je suis médecin de profession (spécialiste en médecine interne/cardiologie), retraité depuis le 30/09/2016.

J'habite dans le Sud-Ouest de la France, dans le Tarn-et-Garonne.

Je suis surtout, par passion, un chercheur et un biologiste.

Toutefois, je n'ai pas le statut académique de ces deux fonctions. Je préfère me définir comme un explorateur de la vie, de la biologie et de la Science. Le processus de la vie qui, depuis toujours m'émerveille, est en effet très paradoxalement un continent inexploré par la Science. La biologie cellulaire a    exploré les biomolécules et ses innombrables "mécanismes" mais elle évite soigneusement de parler de la vie, un processus dont la spontanéité a un sens diamétralement opposé à celui décrit par un principe thermodynamique de portée dite universelle. Il fallait donc une disposition d’esprit d’explorateur pour pénétrer dans cette « terra incognita ».

A 16 ans j’ai décidé, disais-je naïvement, de consacrer ma vie à essayer de "percer le mystère de la Vie ». En repensant, aujourd’hui (60 ans plus tard) à cette décision, j'estime non seulement ne pas avoir trahi cet idéal mais aussi avoir trouvé une réponse qui me satisfait pleinement à cette "impossible quête" . 

Ma réponse ne s'inscrit certes pas dans les rails du discours scientifique académique mais non seulement elle ne le renie pas mais je pense même qu'elle élargit son horizon. Je voudrais donc partager mes découvertes avec tous ceux, scientifiques ou pas, qui cherchent sans préjugés ce que signifie le mot VIE. Une fois admises les prémisses de ma thèse, le lecteur découvrira qu'elle permet de résoudre un nombre impressionnant de "problèmes" épistémololgiques et de lever de très nombreuses ambiguïtés du discours scientifique, en particulier en biologie.

Le laboratoire où ont germé mes idées a été autant la nature sauvage dans laquelle ont baigné mon enfance et mon adolescence que ma très humaine patientièle que j'ai écoutée sans a priori me parler du vécu de son corps et de ses maladies (c'est à dire de sa vie) durant 40 ans.   

Le caractère quelque peu atypique de mon parcours professionnel n'est que le témoin de mon entêtement farouche à réaliser un projet réputé illusoire. Le métier de médecin, tout passionnant qu'il soit, n'a été pour moi que le moyen concret de réaliser mon rêve et de financer une recherche qu'aucune institution officielle n'a vocation de soutenir. J'ai en effet été poussé à explorer des voies d’approche de la Vie autres que celle que nous enseignent nos facultés de biologie et de médecine. 

Je me suis ainsi  intéressé à la psychologie, à la cybernétique, à la systémique, à la physique fondamentale, aux nouvelles approches mathématiques de la complexité, toutes ces disciplines mal connues de la plupart des biologistes mais parfaitement admises par les milieux académiques. Toutefois, je me suis aussi intéressé aux médecines parallèles, aux approches de la vie et de la santé des philosophies orientales (explorées par la "méditation médicale") et même à la préhistoire des religions, tous domaines auxquels il n'est pas classique de se référer dans un travail scientifique en biologie.

Je vis actuellement dans une région du Sud-Ouest de la France qui, ayant été durement touchée par l'exode rural, a permis à la Nature de reprendre ses droits et de retrouver sa sauvagerie primitive, c'est à dire de redevenir superbe et insaisissable au travers de ses incessants changements journaliers et saisonniers.

La "cascade pétrifiante" à Caylus