présentation

La vie reste à ce jour, pour la biologie fondamentale, un concept impossible à définir. La raison de cette impossibilité est d’ordre épistémologique. Le « modèle évident » (sens du mot paradigme) de la machine et notre approche exclusivement réductionniste limitent notre champ de vision et nous rendent invisible ce qui fait la spécificité - pourtant évidente - de ce mouvement complexe. L’auteur entreprend ici de reconstruire, étape par étape, la complexité de ce mouvement en partant de ses niveaux les plus élémentaires, les interactions moléculaires  (chocs élastiques, interactions électriques et chimiques) jusqu’à son niveau le plus élevé, celui du comportement global d’une cellule procaryote que les biologistes appellent son métabolisme. A chaque étape, il montre les insuffisances du paradigme mécaniciste et tout l’intérêt qu’il y a à le remplacer par une approche « organiciste ». Cette nouvelle approche est développée de façon extensive dans un essai intitulé « Le Paradigme Organiciste » et ses aspects plus épistémologiques sont exposés un autre essai intitulé « Entropie, auto-organisation et information ». 
 
La vie reste à ce jour, pour la biologie fondamentale, un concept impossible à définir. La raison de cette impossibilité est d’ordre épistémologique. Le « modèle évident » (sens du mot paradigme) de la machine et notre approche exclusivement réductionniste limitent notre champ de vision et nous rendent invisible ce qui fait la spécificité - pourtant évidente - de ce mouvement complexe. L’auteur entreprend ici de reconstruire, étape par étape, la complexité de ce mouvement en partant de ses niveaux les plus élémentaires, les interactions moléculaires  (chocs élastiques, interactions électriques et chimiques) jusqu’à son niveau le plus élevé, celui du comportement global d’une cellule procaryote que les biologistes appellent son métabolisme. A chaque étape, il montre les insuffisances du paradigme mécaniciste et tout l’intérêt qu’il y a à le remplacer par une approche « organiciste ». Cette nouvelle approche est développée de façon extensive dans un essai intitulé « Le Paradigme Organiciste » et ses aspects plus épistémologiques sont exposés un autre essai intitulé « Entropie, auto-organisation et information ». 
 
 

La vie reste à ce jour, pour la biologie fondamentale, un concept impossible à définir. La raison de cette impossibilité est d’ordre épistémologique. Le « modèle évident » (sens du mot paradigme) de la machine et notre approche exclusivement réductionniste limitent notre champ de vision et nous rendent invisible ce qui fait la spécificité - pourtant évidente - de ce mouvement complexe. L’auteur entreprend ici de reconstruire, étape par étape, la complexité de ce mouvement en partant de ses niveaux les plus élémentaires, les interactions moléculaires  (chocs élastiques, interactions électriques et chimiques) jusqu’à son niveau le plus élevé, celui du comportement global d’une cellule procaryote que les biologistes appellent son métabolisme mais que le microbilogiste appelle un comportement, mouvement dont le caractère finalisé apparaît comme mystérieux aux scientifiques. A chaque étape, il montre les insuffisances du paradigme mécaniciste et tout l’intérêt qu’il y a à le remplacer par une approche « organiciste ». Cette nouvelle approche est développée de façon extensive dans un essai intitulé « Le Paradigme Organiciste » et ses aspects plus épistémologiques sont exposés une autre monographie intitulée « Entropie, auto-organisation et information ».