Presentation
Un Nouveau Paradigme pour la Science et pour l’Homme
Tome 1: La dimension subjective
Tome 2: Le Modèle sphérique
La définition de la vie en biologie et l’articulation corps-esprit en médecine sont les deux questions fondamentales des sciences de la vie. Or, malgré les avancées énormes de la biologie moderne, elles restent deux énigmes complètes.
Après avoir dûment constaté, comme tous ceux qui se sont essayés à l’exercice, l’impossibilité de répondre à ces deux questions en termes scientifiques, l’auteur, médecin clinicien, propose de renverser complètement notre approche du problème. Au lieu de continuer à essayer de nous soumettre aux principes réductionnistes de la Science de Galilée - une science des objets - et d’essayer d’ « ex-pliquer » et de « com-prendre » le comportement mystérieusement finalisé des organismes vivants en prenant pour « modèle évident » la machine, (un objet com-pliqué par l’homme lui-même), il propose de partir d’une évidence incontestable en médecine, la présence, au sein de l’organisme humain, d’un « espace subjectif » (ce que nous appelons notre « intériorité »psychique) et d’appliquer ce modèle - évident chez l’homme - à la Nature, c'est-à-dire défendre l’hypothèse d’une « dimension subjective » de la Nature que Galilée avait négligée (la « res cogitans » de Descartes) au profit des seules dimensions objectives et mesurables, (la « res extensa » de Descartes).
Cette approche, délibérément non-réductionniste (Top-down) l’a entraîné dans une aventure intellectuelle passionnante : débusquer, dans toutes les disciplines des « sciences de la Nature », la présence cachée de cette « dimension subjective ». La surprise a été que non seulement cette dimension est bel et bien omniprésente, c'est-à-dire de portée universelle, mais que sa reconnaissance officielle permet de résoudre une foule de problèmes classiques de l’épistémologie des sciences.
Si la démarche « ascendante » (bottom-up) du « paradigme mécaniciste » a permis d’ex-pliquer la composition de la matière (physique et biologique), seule une approche « descendante » (top-down) et un « paradigme organiciste » permettent de com-prendre le comportement dynamique et finalisé de tous les systèmes naturels.
Ce « Nouveau Paradigme » permet de réintégrer dans la nature humaine une « profondeur* » subjective (psychologique et spirituelle) et dans l’Univers une « profondeur* métaphysique qui ne trouvaient plus leur place dans la vision du monde exclusivement objective et « laïque » proposée par la Science de Galilée.